Lyon biennale "Hors les Normes" édition 2009... "Firework's sur les berges de l'Allier et les bords de l'Aygues" à peu près un bon millier de bicyclettes, ici sur la photo dans la nuit... mégalo certainement un peu, on n'est pas parfait... compliqué, pas vraiment une serie d'emboitements circulaires horizontals de matière "bicyclette" ou bicicletta en italien, bicicleta en argentin, bicycle en... etc, mais pensons à de Vinci singulièrement... une série d'emboitements verticaux pour l'aération et au sommet un bouquet, comme les sapins que les charpentiers alsaciens (je suis désolé mais j'ai passé mon enfance en Alsace...) mettaient sur les charpentes finies. A la base des galets... de l'Allier que j'ai ramassés avec une amie et de l'Aygues que j'ai ramassés avec une autre amie... Ah oui au sommet le bouquet un peu peint pour évité le cocorico : mauve clair et foncé, blanc et rose clair et foncé...
Personne n'est parfait...même que cette pièce m'a valu les foudres d'un critique people lyonnais, enfin ne soyons pas prétentieux ce n'est pas cette pièce qui m'a valu les foudres de ce critique et je le nomme Alain Vollerin mais la présence de cette pièce à la biennale et donc forcémment mon nom guy lehmann ou plutôt Guy Lehmann, sur la liste des "Jean Branciard, Joël Crespin, Marine d'Olivo, Véronique Dominici, Bertrand Lacy, Odile Mandrette, Louis Molle, Stéphanie Sautenet, Anne-Catherine Muller, Nathalie Rak, Michèle Noseda, Laurent Sawadogo-Passamssou, Marie-Françoise Valais, France Gignoux, Guy Lehmann, Régina Lemoigne, Jean-Francois Rieux, Loren, Claire Chamoro, etc, (qui,et je cite) sont des fabricants, des bricolos du plagiat qui espère faire carrière, alors que tout est joué dans cet univers, écrit depuis des décennies... (et je continue rien que pour le plaisir)... Ces pillards feuillettent le catalogue du Musée de l'Art brut ou celui de la Fabuloserie, et comme les surréalistes, ils laissent tourner les pages, puis arrêtent leur choix en pointant un doigt crochu à l'aveugle où plutôt au borgne, car ils voient encore d'un oeil torve pour singer leurs malheureux inspirateurs. C'est lamentable!". Monsieur VOLLERIN c'est décevant ce que vous écrivez... surtout la réminissence aux doigts crochus... un vrai four!